Monster High RPG
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Forum RPG basé sur le monde de la série Monster High.
 
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 Galerie d'écriture de Loch Ness

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MessageSujet: Galerie d'écriture de Loch Ness   Galerie d'écriture de Loch Ness I_icon_minitimeJeu 12 Jan - 18:42

Bonjour ou bonsoir !

Bon alors j'ai envie de partager les histoires que j'ai écrite, plus ou moins longues, plus ou moins bien écrite. A différente étape de mes seize printemps.

Loch Ness.


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Cette première histoire fais douze pages Word et viens du sujet d'une rédaction quand j'étais en quatrième il me semble. Pourquoi douze pages pour un devoir ? J'avais pariée avec ma prof que j'étais capable d'en faire vingt-deux (le pari est venue d'une phrase toute simple d'un camarade ^^') et j'étais un peu déçue d'en faire douze mais a se que m'a dit ma prof, sur ordi le nombre de pages faites est la moitié du nombre de pages faites a la main. Donc j'ai en quelque sorte gagnée mon pari. Oui bon vous n'en avez rien a faire ^^. Je vous laisse.

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Il était une fois, un jeune prince du nom de Melchior. Il était le fils unique du Roi et de la Reine. La mère de Melchior décéda en le mettant au monde. Le Roi fut fortement attristé du décès de son épouse, tout comme le frère de cette dernière qui ne le lui pardonna pas plus qu’à l’enfant. Le Roi apporta toute son attention à son fils. Héritage que lui avait laissé son épouse.
Melchior apprit le maniement des armes trois ans après avoir su marcher correctement. Le Roi fut très fier des rapides progrès de son fils au plus grand détriment de son Oncle. Il était clair que le trône reviendrait au Prince Melchior quoi qu’il arrive.
Le combat était (et de loin) ce que préférait le Prince. Il eut un précepteur comme tout bon Prince, qui lui enseigna la logique ainsi que la culture. Il tissa des liens très forts avec son précepteur ainsi que son père.
Lorsque Melchior eut appris toutes les bases du maniement de l’épée, ce fut son père qui lui apprit le reste. Ils passaient tout deux quatre heures par jour à s’entraîner. Melchior développa une grande adresse à l’épée.
Mais rien ne comblait ce vide qu’il avait dans son cœur. Il grandit dans un entourage d’homme. Il ne connut pas l’affection d’une mère. Il ne connut même pas de femme. La majorité du royaume étant des hommes, ce n’était pas des serviteurs féminins, mais masculins qui s’occupaient des tâches. Le vide s’accentua, toujours plus fort, toujours plus froid, toujours plus grand.
Lorsque le soir Melchior était seul et qu’il regardait par la fenêtre les mines d’or au loin, là, d’où venait l’or dont vivait le royaume et, ou il n’avait jamais mis les pieds. Au frontière du royaume et qui s’illuminait sous l’intensité de la lumière de la lune et des étoiles. Ce spectacle l’émouvait souvent. Particulièrement quand la lune était pleine.
Un jour il vit pour la première fois une lumière passer dans le ciel qui fonçait vers ses collines. Il prit cela comme un signe lui ordonnant d’y aller. Il fonça dans les couloirs du palais et échappa miraculeusement au garde.
Son Oncle le vit sortir par la porte se situant à l’arrière du palais, il ne fit rien pour l’en empêcher cependant. Il allait devoir passer par un ravin en pente glissante et courir un bon kilomètre dans la forêt. Avec un peu de chance il se blesserait dans le ravin et une bête qui passerait par là, attirée par le sang, s’approcherait et le dévorerait à coup de pattes et de dents ! Il repartit se coucher en jubilant.
Pendant ce temps, Melchior n’avait pas cessé sa course et courait désormais à grandes enjambées dans la forêt. Il risqua de glisser dans une pente gluante mais se retint à une branche d’arbre. On n’entendait que les criquets qui chantaient leur cérémoniale nocturne. Melchior avançait toujours plus fort et plus vite, tantôt il sautait, tantôt il bondissait.
Enfin, il passa entre deux arbres et sauta par-dessus un troisième couché à terre, les racines sorties. Il s’arrêta en haletant de sa folle course, sentant encore le vent balayant ses cheveux, il murmura un son d’admiration devant la grotte scintillante d’or. Il s’en approcha et posa une main sur l’un de ces murs. Il gratta un peu avec ses ongles et décrocha une pépite qu’il glissa dans la poche de son pyjama. Il s’enfonça de plus en plus profondément. La lune se reflétant sur les pépites scintillantes, lui permettant d’y voir clair. Il arriva devant une galerie ou trois chemins se séparaient. Il décida de prendre celui du milieu, soit le deuxième. Il avança dans sa route et stoppa net. Il y’avait un infime bruit mais qui dans le tunnel résonnait contre les murs. Melchior avança plus vite, se dirigeant vers la source de ce bruit. Il finit par déboucher au bout d’une galerie ou il vit pour la première fois une jeune fille. Se qui le fascina ce fut ses cheveux couleur d’Or tombant en cascade sur son son dos. Il s’approcha et s’assit en tailleur a côté d’elle. Elle devait avoir à peu près son âge. Elle n’avait pas ressentie sa présence et pour ce faire, il posa une main sur son épaule. C’est dans un sursaut qu’elle se retourna vers lui et s’écarta le plus possible de lui. Melchior fut blessé de ce geste et tenta de la calmer en lui parlant.
« -Calme toi, je ne te veux aucun mal ! »
Mais cela ne fit rien de plus que de lui faire encore plus peur. Il étala ses deux mains à plat, ouverte vers le ciel et lui dit plus calmement encore :
« -Regarde ! Je ne te veux strictement aucun mal ! Je m’appelle Melchior, fils du Roi. Et toi qui est-tu ? »
La jeune fille réagit en balbutiant quelques mots, murmurés si bas que l’on ne pouvait pas les comprendre. Puis elle passa sa main sur ses joues et resserra l’écharpe qu’elle portait sur elle pour reprendre contenance. Elle reprit :
« -Je m’appelle Maria, mon prince. Je viens d’un petit village à quelque jour de routes d’ici. Je me suis enfuie.
- Pourquoi t’es-tu donc enfuie Maria ?
- Un homme sans cœur et ses guerriers ont ravagé mon village ! Mes parents m’on ordonné de me sauver ! Ils sont tous les deux morts avec mon frère ! Je me suis cachée ici et j’ai peur de sortir, si ils sont là et qu’ils m’attendent, ils vont me tuer ! Et alors, je n’aurais pas respecté la promesse que j’ai faite à ma famille ! Mais tu ne diras rien a personne, hein ?
Et tu ne me dénonceras pas hein ?
Comment Melchior, fascinait par tant de tendresse et d’élégance même dans la pauvreté, aurais t’il put aller la dénoncer ?
C’était pour lui totalement inconcevable.
- Je te jure que je ne te ferais rien Maria ! Je ne dirais à personnes que tu es là ! C’est promis !
La jeune fille se colla contre la chaleur du corps de Melchior et s’endormit en murmurant un « merci ». Melchior la serra tendrement contre son cœur. Il se promit à lui même que jamais, il ne lui ferait du mal. En pleine nuit Melchior se réveilla auprès de Maria et retira son manteau afin de la couvrir du froid. Il lui murmura dans son sommeil qu’il reviendrait le lendemain soir et s’en alla rentrer au Palais.
Toute la journée le Prince fut gaie et sautillait de joie. Le roi et le Précepteur du Prince n’en revenait pas. Ces dernières semaines le Prince n’avait montré que peu d’intérêt aux choses de la vie. Aujourd’hui on aurait dit qu’il sortait d’une renaissance ! Le Roi décida de tenter de l’amadouer pendant les trois heures d’entrainement au combat.
- Alors mon fils, que me vaut ce sourire qui ne cesse de s’étaler sur ton visage ?
- Père, si je le pouvais, croyez moi que je vous le dirais. Seulement j’ai promis de ne parler decela à personne !
- Même pas a ton vieux père qui ne veut que ton bonheur ?
- J’en suis navré, croyez moi ! Seulement cela m’ait impossible !
Le Roi sourit à son fils sachant qu’il était aussi borné que sa mère ne l’était autrefois. Le Roi eut une tendre pense aux souvenirs de divergence d’opinion.
Melchior avait hâte d’être le soir pour revoir Maria et quand la nuit fut tombée il se rendit discrètement dans la cuisine et remplit un panier de diverses bonnes choses. Il y mit du pain, du lait, de la viande, de l’eau, des légumes et des fruits. Puis il traversa de nouveau le Palais sous le regard de son Oncle. Arriver a la grotte d’Or il reprit le même chemin qu’il avait fait le soir dernier. Il la trouva allongée sur le sol endormit dans son manteau. Il posa le panier à terre et réveilla doucement Maria :
- Maria, Maria réveille toi ! Chuchota-t-il en replaçant correctement une des ses mèches de cheveux d’Or.
Quand elle fut réveillée, il lui montra ce qu’il avait prit au Palais pour qu’elle puisse manger. Maria se jeta sur lui pour le serrer dans une étreinte chaleureuse pour le remercier. Melchior rentra encore une fois tard dans la nuit.
Et ceci dura pendant de longues années. Melchior avait même réussi à convaincre Maria de se trouver un petit logement. Ils avaient conservé leur rituel. Melchior venait voir Maria tous les soirs et n’avait jamais failli à sa promesse. Maria avait aussi trouvé un travail au marché et réussissait désormais à vivre convenablement.
L’Oncle de Melchior, en ayant assez et sachant que Melchior atteindrait bientôt sa majorité et accéderait donc au trône, décida de prévoir un plan afin que le Roi meure tout en désignant le Prince comme coupable. Il savait que le Prince et le Roi s’entraînaient régulièrement. Le Vendredi était le jour du Seigneur. Les serviteurs du Palais avaient donc la permission de rester dans leurs appartements ou bien de retourner dans leurs familles qui ne travaillaient pas pour la famille royale. Le vendredi était donc un jour idéal pour un meurtre. Et il avait déjà une petite idée qui germait dans son esprit
Le jeudi de la semaine suivante, Melchior fonça dans le jardin du Palais rejoindre son père. Son fourreau d’épée bien attacher à sa taille, il s’approcha du Roi qui discuter avec le Jardinier.
- Père, je suis prêt pour l’entrainement. Bonjour Thomas, ajouta t’il envers le Jardinier.
- Bonjour, mon Prince. Fit le jeune Thomas avant de partir
Le roi regarda son fils d’un air étrange avant d’expliquer le fond de sa pensée :
- Tu sais que tu atteindras bientôt tes dix-huit ans, mon Fils. Je me fais âgé et lorsque je me ferais trop vieux pour gouverner ce royaume, c’est toi qui prendras ma place. Tu le sais n’est-ce pas ?
- Oui père, et se jour là je serais prêt, mais vous avez encore de longues années à vivre !
Le Roi rit et répondit à son fils.
- On n’est jamais à l’abri de la mort. Personne ne sait à l’ avance ce qui va lui arriver.
Melchior réfléchit à se que venait de dire le Roi pendant qu’il se mettait en position et sortait son épée. Au final, ce fut le Roi qui remporta ce combat. Puis il s’en alla car il avait un conseil à diriger. Melchior alla en cuisine chercher de quoi grignoter et s’en alla dans sa chambre ou il s’allongea sur son lit. Il croqua dans une pomme. Pendant les trois heures qui venaient de s’écouler il n’avait cessé de penser a cette ombre qui planait sur toute personne. L’ombre de la mort. Plongé dans ses réflexions il s’endormit.
Tard dans la nuit, il se réveilla et décida d’aller chez Maria. Elle l’accueillit à bras ouverts et le laissa lui raconter sa journée. Ses doutes et ses angoisses. Le terrible pressentiment que ses paroles avaient créé en lui. Et quand il s’endormit, contrairement à des années auparavant, ce fut elle qui le berça dans son sommeil.
A l’aube, Melchior dut rentrer au Palais. Il quitta à regret les bras de Maria.
Il demanda la permission à son père pour sortir faire un tour en ville, lui assurant qu’il serait rentré pour le repas.
Le Roi la lui accorda et Melchior se dépêcha d’aller à la grotte d’Or. Il prit un outil que quelqu’un avait laissé et décrocha quelque pépite. En faite il se remplit les deux poches. Pressentant qu’il en aurait besoin.
En rentrant, son précepteur l’appela pour ses leçons. Quand il eu fini, il passa dans sa chambre chercher un sachet pour verser les pépites dedans et parti rejoindre son père.
L’oncle de Melchior pendant ce temps, se frottait les mains d’impatience en voyant le fils et le père réunit pour la dernière fois. Une demi-heure avant que Melchior ne rejoigne son père, il prit l’épée du Prince et la donna à ses hommes de main. Il assista au massacre du Roi et prit l’épée de Melchior pour la planté dans le cœur du Roi. Le roi était mort. Il attendit patiemment que le Prince n’arrive et couru dans le Palais avertir tout le monde.
Melchior pris son épée plantée dans le cœur du Roi et pleura. La réalisation de se qu’il craignait était là, devant lui. Il ferma les paupières de son père et ses pleures redoublèrent. A ce moment là, son oncle arriva entouré d’une cinquantaine de personne.
- Regarder ! C’est bien ce que je me tue à vous dire, hurlait son oncle a tue-tête. Le Prince a tué le Roi ! Voyez ! Ce monstre n’est pas fait pour régner ! Pour preuve, son arme son épée, est couverte de sang ! Et ce n’est pas du sang de cochon ! Voyez ! Je vote pour le bannissement !
Melchior regardait tour à tour les regards haineux de tout ces gens qu’il connaissait depuis l’enfance. Il tomba sur le regard de son précepteur. Celui-ci s’approcha de lui et dit :
- Vous devriez avoir honte ! Accusez quelqu’un de sang bleu ! Le Prince n’aurait jamais tué celui qui était son père !
- Et moi je vous dis que si ! Hurlait l’Oncle de Melchior, le Prince a tué le Roi pour accéder plus vite au trône ! Bannissons-le !
Malgré les protestations du Précepteur, Melchior fut emprisonné et le précepteur l’ayant protégé, fut enfermé avec lui. Le silence resta durant deux longues heures. Melchior sentait le regard fixe de son précepteur sur lui. Une heure plus tard, il était à bout. Il en a assez du silence, de compter les rats qui passaient devant lui.
- Dites quelque chose ! Chuchota Melchior en prenant sa tête entre ses mains et en ce balançant
- Avez-vous tué votre Père ?
- Quoi ?
Non ! Pourquoi aurais-je fait une chose pareille et pourquoi m’avoir défendu si vous croyiez la même chose qu’eux ?
- Je sais que vous ne l’avez pas fait. C’est idiot mais il fallait que je vous pose la question. Avez-vous déjà remarqué que l’index de votre main gauche tressautait quand vous mentiez ?
- Quoi ?
- Quand tu avais cinq ans, vous avez volé une pomme au cuisinier. Quand je vous ai demandé si c’était vous, votre index a tressautait et j’ai su que vous mentiez. Quelque moi plus tard, vous avez revolé quelque chose et je vous ai redemandé si c’était vous et votre index a recommencé. C’est comme ça que je sais si vous mentait ou pas.
Melchior se mêla au rire de son précepteur.
- Alors puisque vous savez que ce n’est pas moi, qui est-ce ?
- Je dois dire que vu la réaction de votre Oncle, cela ne m’étonnerait pas qu’il y soit pour quelque chose.
- Mon Oncle ?
- Oui, mon Prince je le soupçonne.
Ils restèrent deux jours sans boire et manger. A l’aube du septième, ils furent emmenés devant un juge et furent juger. Malgré qu’il ne cessa de clamer son innocence, Melchior fut condamné à l’exclusion du royaume et ce fut le même jugement pour son précepteur pour avoir protégé un criminel. Une larme coula sur sa joue en pensant à Maria tandis qu’on l’emmenait dans une salle ou on lui banda les yeux et ligota les membres. Fatigué, il s’endormit profondément. Il se réveilla sur quelque chose de dure. Il remarqua que les lianes qui lui enfermer les mains et les pieds n’était plus là. Il retira son bandeau et vit du sable à perte de vue. Rien d‘autre que du sable. Il sauta sur ses pieds et regarda a droite et a gauche. Il vit son précepteur a terre et couru vers lui. De l’eau était posée a côté de lui et il lui en fit boire quelque goutte. Le précepteur revint peu a peu a lui dans un grognement comique qui aurais surement fais rire Melchior si il n’avait pas était perdu au milieu de nulle part, enfin si, dans le désert. Mais c’était une mince information. Quand son précepteur fut revenu de son sommeil, Melchior l’adossa à une pierre. Ils marchèrent longuement. Leur réserve d’eau étant très faible. Il tentèrent de récupérer l’eau de pluie et lorsqu’à leur neuvième jour dans le désert, ils tombèrent sur un petit village, ils coururent a en perdre haleine. Le chef les accueillit et leur offrit l’hospitalité. Mais Melchior, bien qu’heureux d’avoir pu manger a sa faim, ne cesser de penser a Maria qu’il avait laissée seule. S’il lui arrivait quelque chose, jamais il ne se pardonnerait d’avoir failli à sa promesse.
- Que vous arrive-t-il jeune homme ?
Vous m’avez l’air bien triste. N’êtes vous point heureux que mon village et moi-même, nous vous ayons accueilli ?
- Si bien sur ! Seulement j’ai laissé mon amie chez moi. Elle est seule. Elle ne sait pas ce qui m’est arrivé. Je crains qu’il lui arrive du mal.
- Ah, l’amour ! Mère de bien des tourments, mais aussi de bien des instants de joies. J’ai treize femmes et vingt-six enfants. Je ne me plains pas. Mais je comprends ta tourmente. Je sens que ton voyage sera long mais qu’il t’apportera le courage et la force dont tu as besoin. Tu passeras par des moments horribles. Ton voyage sera fait de pauvreté et de regret. Mais si je puis me permettre, ne prend que le meilleur de chaque instant. La vie est un chemin. Il ne faut jamais cesser de courir car si tu faiblis, la mort te rattrape. Des fois, des gens tenteront de te faire tomber, mais relève toi au plus vite et continu ta route !
Melchior, bien qu’ayant envie de croire le chef, ne pouvait si résoudre et il partit se coucher.
Il resta trois jours à se reposer. Finalement il décida d’aller admirer les étoiles et c’est là qu’il la vit. Une lumière passa dans le ciel. Comme lorsque qu’il avait sept ans et qu’il avait découvert Maria. Alors son choix fut vite fait. Il remballa ces affaires, et partit chercher son précepteur.
- Je ne viens pas Melchior.
- Quoi ?
Mais qu’allez vous devenir ?
Que vais-je faire sans vous ?
- Tu feras ce que ton cœur te dit de faire. Suis ton destin Melchior. Je suis bien trop vieux pour tout ça maintenant. De mon côté je vais rester ici. Va désormais !
Melchior après avoir serré une dernière fois son précepteur dans ses bras partit. Seul.
Il suivait cette lumière blanchâtre dans le ciel. Il traversait les rivières, les forêts, les villages sans rien dire. Ne s’arrêtant que pour dormir et se ravitailler. Le cinquantième jour depuis qu’il avait était bannis du royaume de son père, il vit au loin une charrette tirait pas des gens, des chevaux et des éléphants. Il courut en criant. Arrêtez-vous ! Arrêtez-vous !
L’homme qu’il rencontra s’appelait Balthazar. Et il était le Roi d’un royaume. Melchior sentit qu’il pouvait lui faire confiance et donc lui raconta son histoire. Qui il était, pourquoi il n’était plus prince… Balthazar avait visiblement du mal à suivre les évènements et Melchior dut se répéter plusieurs fois.
- Tout cela t’est t-il vraiment arriver ?
- Ecouter, on peut me traiter de n’importe quoi, mais certainement pas de menteur. Je suis tout sauf ça.
- Je comprends Melchior, crois moi. Mais je dois absolument savoir si je peux te faire confiance !
- Tout ce que je vous ai dit est tout à fait vrai. Mot pour mot ! C’est la vérité ! Je vous en prie ! Vous devez me croire ! Si vous, vous ne me croyiez pas, qui me croira ?
Pitié mon Seigneur !
- D’accord, d’accord. A une condition. Plutôt deux.
- Ce que vous voulez !
- Tu te feras passer pour un de mes pages et tu m’appelleras Balthazar quand aucun de mes serviteurs ne sera là.
- C’est promis Balthazar ! Oh, merci, merci ! Je vous serais éternellement reconnaissant ! Et sur ce, il se retira.
Balthazar était un roi vraiment bon ! Avec son père, Melchior était persuadé qu’il serait devenu de grands amis avec le temps. Malheureusement cela n’arriverait jamais. Son père était mort et la seule famille qu’il lui restait était un Oncle qui, il en était certain, voulait sa mort.
Plus tard ils furent rejoint par Gaspar un autre roi et ses serviteurs. Melchior se disait que désormais il avait deux amis. Sans compter les autres pages de Balthazar. Dans son royaume, Melchior n’avait que son défunt père, son précepteur et sa tendre Maria.
Il s’inquiétait beaucoup pour elle et pas un jour ne passait sans qu’il ne pense a elle. Mais chaque soir en voyant cette lumière éclatante passer dans le ciel, il pensait à elle. Il pensait aussi aux serviteurs qui ne l’avaient pas cru. Mais aussi a cette grotte d’Or. Il aimait observer les petites pépites d’Or qu’il avait décrochées. Il n’en avait pas encore eu besoin.
Un matin, alors qu’il dormait, Balthazar vint le voir dans la charrette et lui dit :
- Nous avons vu au loin un mur qui nous prouve que nous allons bientôt voir un royaume. Nous avons besoin de nourriture et d’eau. Nous allons donc y aller. Prépare-toi. Et n’oublies pas Melchior, si quelqu’un te demande ce que tu fais avec moi, tu dois répondre que tu es un de mes pages.
Tu as compris ?
- Oui Balthazar.
- Je te fais confiance !
Et il repartit en tête avec Gaspard. Melchior se prépara en hâte et sauta de la charrette au dos d’un cheval libre. « Indomptable », le cheval, était comme son nom l’indiquait quasiment indomptable, néanmoins il paraissait faire une exception pour Melchior. Lui, trouvait ce cheval magnifique. Sa couleur était d’un marron clair qui au soleil brillait d’une couleur dorée. Il partit rejoindre à l’arrière les pages de Balthazar et de Gaspard.
- Alors Melchior ?
Fini de rêvasser ?
lui dit Sedna d’un ton gentiment moqueur.
- Il faut bien que je me rattrape des nuits blanches que tes ronflements me font subir Sedna !
Les autres pages rirent tandis que Sedna fit une moue vexée. Oui, on pouvait vraiment dire que Melchior s’entendait bien avec eux.
Sept heures plus tard ils demandèrent l’accès au royaume. Les portes s’ouvrirent dans un long grincement. Et en y entrant, Melchior sentit son instinct lui hurler de ne pas y aller. Il l’ignora.
Ils achetèrent ce qu’il leur fallait, des fruits, des légumes, de l’eau, du sucre, de l’encens, et Balthazar acheta même une sculpture. Enfin une sculpture, ça ne ressemblait pas vraiment à quelque chose. On aurait dit un vase en fer mais avec des tas de trous dedans. Assour, un ami de Balthazar qui était aussi le sien, disait que c’était de l’art contemporain il n’en resta pas moins que Melchior restait sceptique.
Mais un garde du Palais vint les prévenir que le Roi Hérode désirait leur parler. Alors c’est inquiet qu’ils arrivèrent devant les portes du Palais. Gaspard et Balthazar furent invités à entrer. Melchior, ainsi que le reste du groupe, durent chercher une grande auberge. Ils en trouvèrent une pas très loin qui contenait juste assez de chambre pour eux. A condition d’être trois par chambre. Melchior n’eut aucune hésitation et pris Sedna et Assour avec lui. Sedna pour sa qualité au combat et Assour pour sa grande culture. Même si il allait encore subir le ronflement de Sedna, il ne serait pas seul. Avec Assour, il pourrait discuter.
- En pleine nuit on lui demanda également de ce rendre au Palais car Balthazar et Hérode voulait lui parler. Il s’habilla et suivit la personne qui était venu le chercher.
Le Palais était immense. Un peu plus petit que celui de son père d’un ou deux mètre peut-être. Balthazar l’attendait sur les marches. Une mine grave était peinte sur son visage. Et Melchior accourut a son côté.
- Vous m’avez appelé mon Seigneur ?
- Oui Melchior. Le Roi Hérode sait ton passé ! Il a surement des espions un peu partout. Je pense qu’il est bon que tu le rencontre. Après tout il ne te fera rien.
Melchior acquiesça silencieusement. Son ventre se tordait. Son instinct recommencé à lui dire de s’enfuir a toutes jambes. Il l’ignora encore.
- Allons-y.
Ils entrèrent tous deux dans une salle à manger immense. Une personne inconnue à Melchior ce situait en bout de table et le fixer de ses yeux noirs.
- Bonjour votre majesté. Mon nom est Melchior.
- Eh bien jeune Melchior, le mien est Hérode. J’ai apprit le triste décès de ton père. Je te prie d’accepter mes condoléances.
- Merci votre Majesté.
Ils discutèrent ensemble et Melchior apprit alors la signification de la lumière d’après Hérode. D’après lui, un enfant naitrait près de Jérusalem d’où était née il y’a longtemps le roi David. On disait qu’il était le nouveau roi des juifs. Mais étant donné que c’était Hérode le roi et qu’il n’était pas près de lâcher le trône, il voulait savoir qui il était et si il existait vraiment. Il décida d’envoyer Melchior, Balthazar et Gaspard en reconnaissance. Et les renvoya du royaume sur cette phrase :
- Lorsque vous aurez trouvé l’enfant, revenez me le dire. Et ne me faite pas faux bonds car ma vengeance sera terrible. Et la porte se ferma. Tout le monde partit donc sauf Sedna qui décida de rester ici un peu plus longtemps. Histoire de voir si cela n’était pas un piège. Melchior et Assour continuèrent le chemin en duo. Mais Melchior était aussi beaucoup avec Balthazar et Gaspard. Il discuter d’Hérode et de cette enfant.
Ils leur falluent une journée de marche pour rejoindre Jérusalem. En fin de soirée, ils se rendirent compte que les maisons étaient vides. En effet tout le monde c’était réunis autour d’une étable. Il entre aperçu un âne et un bœuf. Les villageois les laissèrent passer et tous les trois descendirent en s’approchant de l’enfant, de la femme et de l’homme. Melchior y vit un bébé. Il avait les mêmes cheveux que Maria, d’une couleur Or pur. Sa peau était laiteuse et il gigotait dans tous les sens tendant ses frêles petits bras vers eux. Un sourire illuminait son visage. Ses yeux étaient d’un bleu ciel étonnant. Gaspard s’en approcha et donna à l’enfant, un paquet d’encens.
-Moi, le Roi Gaspard t’offre ce paquet d’encens. Spécialité de mon pays.
Puis Balthazar s’approcha et lui donna quelque chose mais il ne vit pas ce que c’était. Il entendit Balthazar dire la même chose que Gaspard.
- Moi, Roi Balthazar t’offre ce bloc de mire. Spécialités de mon pays.
Puis hésitant, Melchior s’en approcha et sortit les quelques pépites d’Or qu’il avait dans son pantalon. Il lança un regard à Assour et regarda Balthazar qui était étonné qu’il ai quelque chose à offrir.
- Moi, Melchior Prince et futur Roi t’offre ces pépites d’Or. Spécialités de mon pays. Puisses-tu être plus courageux que moi.
Melchior fit demi-tour après avoir graver la scène dans son esprit. Le bébé le regardait en souriant. Il se retourna et vit le regard étonné et préoccupé d’Assour et des autres gardes et pages. Il remonta sur Indomptable et s’enfuit a l’extrémité de la ville. Il revint chez Hérode chercher Sedna. Il lui expliqua tout, et Sedna, au plus grand étonnement de Melchior lui dit :
- Je le sais Melchior. Je l’avais deviné. Un être aussi bien éduqué que toi ne peut pas être page ou garde.
Et tous deux repartirent à Jérusalem. Arrivée, ils ne s’arrêtèrent pas et traversèrent la ville. Retrouvant Balthazar et Gaspard. Alors Melchior avoua ce qui le tracassait depuis le jour précédent.
- Ne devrions-nous pas aller chez Hérode ?
Lui dire que nous avons vu l’enfant. Même en disant des mensonges. Ne devrions-nous pas nous assurer qu’il n’arrivera rien à personne ?
- Melchior, bien que tu sois décidé d’assumer ton rôle de Prince, tu ne peux y aller. Tu n’as pas de fidèles. Tu veux y aller seul et mourir ?
- Mais j’ai un très mauvais pressentiment Balthazar ! Je suis sur que quelque chose ne va pas. Hérode est capable du pire ! Voulez-vous qu’il ne se venge sur quelqu’un d’autre ?
- Eh bien vas-y si tu le désires Melchior. Mais nous, nous n’irons pas. Nous devons accompagner l’enfant Roi. Parce-que c’est ce qu’il est. Un futur Roi.
Mais Melchior ne put se résoudre à faire demi-tour. L’enfant Roi ne risquait rien. Malgré ses sombres pressentiments, il continua son chemin. En haut d’une montagne qui donnait vue sur Jérusalem, ils virent la chose la plus affreuse de leur vie. Des maisons brulaient. Des cris se faisaient entendre d’ici, résonnant dans la montagne. Le feu n’était pas fait n’importe comment. On discernait très bien le mot « vengeance ». Les maisons brulaient en représentant ce mot. Et Balthazar et Gaspard regardèrent ceci sans y croire. Melchior pleurait. Si il avait tenu tête, si il n’avait pas eu peur d’aller chez Hérode, rien de tout ceci ne serait arrivé. Le bébé Roi pleurait. Melchior lança un regard furieux à Balthazar et Gaspard il avança seul. Enfin pas si seul que ça puisque qu’il fut suivi par Assour et Sedna. En haut de la montagne, ils observèrent la scène du village qui partait en fumée. Les deux autres Rois les rejoignirent plus tard accompagneé de leur escorte. La lumière passa une dernière fois cette nuit là et s’arrêta juste au dessus d’eux. Et il se rappela les paroles du chef de village. Des Regrets, il en avait pour n’avoir pas agit. Son voyage avait été fait de pauvreté, oui, car il avait vécu d’autres personnes. Des gens avaient voulu le faire tomber, oui, son Oncle et maintenant Hérode. Mais il ne se rappelait pas la fin. Des fois, des gens tenteront de te faire tomber, mais relève toi au plus vite et continu ta route ! Oui c’était ça. C’était exactement se qu’il allait faire. Maintenant il savait en quoi ce voyage le rendrait courageux. Il lui avait donné la force d’admettre qu’il ne voulait pas céder le trône à son Oncle. Il serra Balthazar et Gaspard dans ses bras. Et il leur dit que dès qu’il aurait réussi a faire tomber son Oncle, il leur enverrait quelqu’un. Et alors il pourrait se rendre dans son royaume à leur guise. Il ne dérangea pas Assour et Sedna qui se chamaillaient et partit sur le dos d’Indomptable. Cadeau de Balthazar. Mais avant il dit au revoir a l’enfant roi.
Il pensa à Maria qu’il allait revoir. A Thomas. Et a tout les autres pour qui il se battrait. Mais il ne s’attendait pas à avoir de la compagnie alors qu’il se trouvait déjà dans le désert. Il stoppa net Indomptable qui se mit sur ses deux pattes arrières en s’ébrouant.
- Assour ! Sedna ! Que faite-vous ici ?
Rentrer chez vous immédiatement !
- Certainement pas Melchior. Nous ne rentrerons pas chez nous. Nous venons avec toi ! Dit Sedna.
- Quoi mais vous ne pouvez pas ! Et Balthazar ? Hein ?
- Il nous a dit qu’on était libre ! Sourit Assour.
- C’est mon combat ! J’interdis quiconque de venir s’infiltrer dans ma bataille ! Venez si vous y tenait tant !
Et il partit au galop, suivit de très près par Assour et Sedna.
Ils arrivèrent bien vite à la porte du royaume. Le gardien reconnut Melchior et appela l’Oncle de Melchior. Qui ne s’étonna pas de l’entendre appeler au Roi.
- Entrez Prince ! Le Roi tient à vous recevoir ! Hurla t-il en riant.
Ils entrèrent et Melchior avança parmi le peuple. Puis il partit au galop. Et stoppa net devant la maison de Maria. Assour et Sedna le regardèrent toquer. Interloquer quand une jeune femme en sortit en pleure dès qu’elle vit Melchior. Celui-ci la prit dans ses bras et l’installa sur Indomptable après qu’il fut monté. Maria et Melchior partirent au galop.
- Tu m’as tant manqué Melchior. J’étais si inquiète ! J’ai appris ce qui c’était passé. Oh, Melchior je suis désolé !
- Maria, c’est moi qui suis désolé ! Je t’avais juré de ne jamais t’abandonner et c’est ce que j’ai fait. Je suis désolé !
- Je comprends Melchior ! Je te pardonne ! Tous les soirs, je regardait cette lumière dans le ciel pensant a la première fois que je t’avais rencontré.
- C’est exactement ce que je pensais aussi ! Sourit Melchior.
Sourire qui s’évanouit en arrivant devant le Palais. Il descendit d’Indomptable et aida à faire descendre Maria pendant qu’Assour et Sedna descendaient aussi. Il monta les marches suivit de ses amis. Son Oncle l’attendait dans le hall. L’arme a la main. Melchior sortit la sienne. Il savait que la fin de ce combat signerait la mort de l’un d’eux. Il embrassa Maria et fut ravi qu’elle réponde à son baiser pendant Que ses deux autres amis imitaient le bruit que font les colombes. Il s’approcha de son Oncle.
- Je sais que c’est toi qui as tué mon Père ! Tu as osé le tuer !
- Pas du tout ! Il a signé son arrêt de mort au moment ou il a dit te vouloir comme dirigeant du royaume après sa mort ! Et quel meilleur moyen d’hériter du trône que de tuer le Roi par l’arme de son propre fils ?
Melchior se jeta sur lui. Il riposta. Et le combat commença. Il attaquait, l’autre ripostait et vice et versa. Finalement Melchior se retrouva cloué au sol. Son Oncle avait le dessus. Il feinta de l’attaquer et pendant que son Oncle esquivait le coup qui n’eut pas lieu, Melchior le renversa et posa son épée sur sa gorge après l’avoir destitué de son arme.
- Va s’y ! Tue-moi ! Qu’est-ce que tu attends !
- Si je te tuais, je ne vaudrais pas mieux que toi !
Il planta son épée dans son épaule droite et appela les gardes du Palais.
- J’ai battu cet homme ! Ce n’est pas moi qui ai tué le Roi, mon père ! C’est lui ! J’ai battu votre Roi actuel ! Je suis donc votre nouveau Roi ! Et j’exige qu’il soit jeté en prison et condamné à y passer le reste de sa vie !
L’Oncle fut emporté en prison et Melchior s’approcha de ses deux amis.
- Je vous avez dit que je savais me battre !
Mais il fut cloué une seconde fois au sol mais par Maria, qu’il prit dans ses bras.
- C’est dingue ce que tu sais te battre ! Tu viens d’être plaqué à terre par une fille !
Ils rigolèrent tous les quatres puis Melchior se redressa, Maria dans ses bras. Il appela quelqu’un et lui dit :
- Je souhaite qu’on envoi immédiatement une personne chez le Roi Balthazar et le Roi Gaspard ! Je souhaite aussi que l’on leur donne une enveloppe indiquant mes fiançailles à celle qui a ravit mon cœur il y’a des années si elle le souhaite.
Puis il posa Maria à terre, ainsi qu’un genou et lui demanda :
- Maria, laisse-moi t’épouser et ainsi rester éternellement à tes côtés !
- Oui Melchior, oui, oui, oui !
Assour et Sedna ricanèrent et dirent :
- Si tu le souhaite, nous pouvons aller chez Balthazar lui donner ce faire-part. Ainsi que leur dire le nom du nouveau Roi bien entendu.
Melchior échangea un regard avec Maria, et tous deux souriant leurs dirent :
- Mais qui va nous servir de témoins ?
Melchior demanda à ses deux amis Assour et Sedna, s’ils acceptaient d’être témoins de leur noce, ce pourquoi ils répondirent d’un grand oui qui résonna dans tout le royaume.

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Verdict ?
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Lee Crown
Médecin Scolaire / Admin et Aide RPG
Lee Crown


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MessageSujet: Re: Galerie d'écriture de Loch Ness   Galerie d'écriture de Loch Ness I_icon_minitimeSam 9 Juin - 22:55

Pardon de te décevoir, mais je n'ai pas lu ton histoire, pour le moment du moins 8D

Non en fait, je venais te donner un petit conseil : N'hésite pas à séparer ton récit en paragraphes bien marqués, ça fera plus aéré, et.. moins peur à lire xD *PAF*

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